Les thés Fuyama sont maintenant diffusés par LEOPOLD Marseille.
Renaissance d’un savoir faire traditionnel dans un quartier emblématique de la capitale phocéenne, l’Evêché.
Du biscuit des Galères au macaron de luxe.
Etabli alors dans ce qui fut (et beaucoup le regrette) le bassin des carènes, la biscuiterie Léopold obtint son premier marché de pain de guerre au milieu du XVIIIè siècle, Maurepas étant ministre de la Marine à ce que dit la tradition orale qui vit dans ce nom l’adversaire privilégié des pirates sarrazins, et le pain fut goûté par un capitaine du nom de Fontette qui le trouva propre à résister aux longues courses de la Méditerranée. A dire vrai le souci d’éviter les miettes l’emportait sur la précarité de dentition de la chiourme motrice. Le biscuit Léopold acquit très vite une réputation de projectile redoutable, les Barbaresques s’en méfiaient, quoiqu’on n’ait dit nulle part qu’il ait été chargé dans les couleuvrines.
Les choses, les évènements, les farines, la paix, tout concourut à l’éclipse du pain de guerre jusqu’à ce que le flambeau soit repris par de courageux artisans biscuitiers qui abandonnèrent le dur des Galères sur injonction de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie au bénéfice du macaron onctueux et fondant que LEOPOLD décline en douze parfums, sans parler de leurs traditionnelles navettes marseillaises, imitées souvent, égalées jamais.
Le thé d’accompagnement
Il est vite apparu que les élégantes qui poussaient la porte de la boutique pour déguster quelques brisures afin d’assurer leur choix, seraient mieux accueillies s’il leur était proposé de s’asseoir un instant devant une tasse de thé, l’infusion la mieux assortie aux biscuits fins.
Le coin-salon appela bientôt un choix de thés. De thés à emporter.
LEOPOLD a décidé de confier à la boutique Fuyama de Paris la création de son stand de thés. Soixante qualités en vrac sont déjà offertes couvrant les jardins les plus courants en thés verts, rouges et bleus, fumés, non-fumés, ainsi que les blendings aromatisés.
Fuyama a également transféré sa spécialité de berlingots de thés compressés du Yunnan.
NDLR : les biscuits Léopold ont depuis lors migré vers Toulouse.
Renaissance d’un savoir faire traditionnel dans un quartier emblématique de la capitale phocéenne, l’Evêché.
Du biscuit des Galères au macaron de luxe.
Etabli alors dans ce qui fut (et beaucoup le regrette) le bassin des carènes, la biscuiterie Léopold obtint son premier marché de pain de guerre au milieu du XVIIIè siècle, Maurepas étant ministre de la Marine à ce que dit la tradition orale qui vit dans ce nom l’adversaire privilégié des pirates sarrazins, et le pain fut goûté par un capitaine du nom de Fontette qui le trouva propre à résister aux longues courses de la Méditerranée. A dire vrai le souci d’éviter les miettes l’emportait sur la précarité de dentition de la chiourme motrice. Le biscuit Léopold acquit très vite une réputation de projectile redoutable, les Barbaresques s’en méfiaient, quoiqu’on n’ait dit nulle part qu’il ait été chargé dans les couleuvrines.
Les choses, les évènements, les farines, la paix, tout concourut à l’éclipse du pain de guerre jusqu’à ce que le flambeau soit repris par de courageux artisans biscuitiers qui abandonnèrent le dur des Galères sur injonction de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie au bénéfice du macaron onctueux et fondant que LEOPOLD décline en douze parfums, sans parler de leurs traditionnelles navettes marseillaises, imitées souvent, égalées jamais.
Le thé d’accompagnement
Il est vite apparu que les élégantes qui poussaient la porte de la boutique pour déguster quelques brisures afin d’assurer leur choix, seraient mieux accueillies s’il leur était proposé de s’asseoir un instant devant une tasse de thé, l’infusion la mieux assortie aux biscuits fins.
Le coin-salon appela bientôt un choix de thés. De thés à emporter.
LEOPOLD a décidé de confier à la boutique Fuyama de Paris la création de son stand de thés. Soixante qualités en vrac sont déjà offertes couvrant les jardins les plus courants en thés verts, rouges et bleus, fumés, non-fumés, ainsi que les blendings aromatisés.
Fuyama a également transféré sa spécialité de berlingots de thés compressés du Yunnan.
NDLR : les biscuits Léopold ont depuis lors migré vers Toulouse.
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